Je vous souhaite à toutes et à tous une merveilleuse année 2014.
Le 14 étant mon chiffre préféré depuis toute petite, je mets tous mes espoirs dans cette année tout en croisant les doigts.
Nous ne t'attendons plus, tu es maintenant là avec nous, pour la vie. Il faut toujours aller au bout de ses rêves.
jeudi 2 janvier 2014
dimanche 1 décembre 2013
Bon premier jour de l'avent
Nous sommes à quelques jours de Noël et de la fin d'année, je dois dire que je ne suis pas mécontente d'en finir bientôt avec cette année.
Nous sommes rentrés dans le temps des fêtes, il va falloir faire les achats, tout emballer dans des jolies papiers colorés, trouver encore de nouvelles cachettes, regarder un petit garçon qui ne croit plus au Père Noël mais qui ne veut pas le dire s'émerveiller devant les décorations, le sapin, les lumières qui vont s'éclairer sur les maisons et dans les jardins.
Préparer des biscuits, boire du chocolat chaud, espérer que Sissi reviendra une fois de plus émerveiller nos yeux et nous faire rêver, visionner tous les films de Noël, imaginer le repas traditionnel qu'elles vont nous préparer.
Nous allons oublier les larmes qui ont coulées, croire en 2014, croire qu'un monde meilleur verra le jour un jour, et si c'était pour bientôt ? Croiser les doigts, se faire des tresses et espérer, oui espérer pouvoir un peu souffler, arrêter de s'épuiser, de s'inquiéter, rêver que la magie de Noël existe encore et qu'elle viendra s'installer dans nos foyers.
En attendant, aujourd'hui les premiers chocolats ont été découverts avec bonheur et ils ont fondu doucement dans leurs bouches. Les yeux avaient déjà des étoiles qui scintillaient, la magie chez eux, elle y est toute l'année.
Bon avent à tous, que la magie soit partout.
Nous sommes rentrés dans le temps des fêtes, il va falloir faire les achats, tout emballer dans des jolies papiers colorés, trouver encore de nouvelles cachettes, regarder un petit garçon qui ne croit plus au Père Noël mais qui ne veut pas le dire s'émerveiller devant les décorations, le sapin, les lumières qui vont s'éclairer sur les maisons et dans les jardins.
Préparer des biscuits, boire du chocolat chaud, espérer que Sissi reviendra une fois de plus émerveiller nos yeux et nous faire rêver, visionner tous les films de Noël, imaginer le repas traditionnel qu'elles vont nous préparer.
Nous allons oublier les larmes qui ont coulées, croire en 2014, croire qu'un monde meilleur verra le jour un jour, et si c'était pour bientôt ? Croiser les doigts, se faire des tresses et espérer, oui espérer pouvoir un peu souffler, arrêter de s'épuiser, de s'inquiéter, rêver que la magie de Noël existe encore et qu'elle viendra s'installer dans nos foyers.
En attendant, aujourd'hui les premiers chocolats ont été découverts avec bonheur et ils ont fondu doucement dans leurs bouches. Les yeux avaient déjà des étoiles qui scintillaient, la magie chez eux, elle y est toute l'année.
Bon avent à tous, que la magie soit partout.
mercredi 6 novembre 2013
Entre deux
J'aimerais continuer à vous raconter notre voyage, mais manque de temps, je passe mon temps à courir après lui justement.
Alors entre deux, je viens d'aller faire un petit tour sur le blog de Nathalie, son jolip'tit coeur dit de jolies choses et ça m'a fait penser à ce que m'a dit mon fils il y a quelques temps.
Lorsque notre vie avec lui s'est bien installée en France un jour il m'a dit :
Pourquoi maintenant en France on me voit et qu'aux Philippines on ne me voyait pas ?
J'avais trouvé cette réflexion lourde de sens.
Cet été nous sommes retournés faire notre voyage aux Philippines. A la fin de ce voyage je lui ai demandé ce qu'il en avait pensé, ce que ça lui avait fait de découvrir son pays et si il avait été gêné de toutes les questions que les gens nous avaient posées sur lui sur nous, sur cette drôle de maman qui a mit au monde un petit garçon qui ressemblait à un Philippin (c'est que qu'ont pensé tous les Philippins, je vous assure), sur les explications que je devais donner sur le fait qu'il était adopté et qui du coup le transformait aux yeux des Philippins en héros national puisqu'en plus il a la même date anniversaire que Rizal...
Il m'a dit :
Je suis content parce que maintenant je connais mon pays et je peux dire que je le trouve beau mais triste il y a trop d'enfants malheureux qui vivent dehors et que je préfère vivre en France. Je trouvais les questions drôles surtout quand ils disaient que j'étais dans ton ventre et aussi quand on disait à ma soeur que son petit frère lui ressemblait pas du tout mais aussi maintenant dans mon pays on fait attention à moi, on me parle, on s’intéresse à moi et tout le monde me voyait et ça c'était bien, maintenant dans mon pays j'existe parce que j'ai une famille.
Que dire après ça ? Je crois que tout est dit, comment exister sans une famille ?
Alors entre deux, je viens d'aller faire un petit tour sur le blog de Nathalie, son jolip'tit coeur dit de jolies choses et ça m'a fait penser à ce que m'a dit mon fils il y a quelques temps.
Lorsque notre vie avec lui s'est bien installée en France un jour il m'a dit :
Pourquoi maintenant en France on me voit et qu'aux Philippines on ne me voyait pas ?
J'avais trouvé cette réflexion lourde de sens.
Cet été nous sommes retournés faire notre voyage aux Philippines. A la fin de ce voyage je lui ai demandé ce qu'il en avait pensé, ce que ça lui avait fait de découvrir son pays et si il avait été gêné de toutes les questions que les gens nous avaient posées sur lui sur nous, sur cette drôle de maman qui a mit au monde un petit garçon qui ressemblait à un Philippin (c'est que qu'ont pensé tous les Philippins, je vous assure), sur les explications que je devais donner sur le fait qu'il était adopté et qui du coup le transformait aux yeux des Philippins en héros national puisqu'en plus il a la même date anniversaire que Rizal...
Il m'a dit :
Je suis content parce que maintenant je connais mon pays et je peux dire que je le trouve beau mais triste il y a trop d'enfants malheureux qui vivent dehors et que je préfère vivre en France. Je trouvais les questions drôles surtout quand ils disaient que j'étais dans ton ventre et aussi quand on disait à ma soeur que son petit frère lui ressemblait pas du tout mais aussi maintenant dans mon pays on fait attention à moi, on me parle, on s’intéresse à moi et tout le monde me voyait et ça c'était bien, maintenant dans mon pays j'existe parce que j'ai une famille.
Que dire après ça ? Je crois que tout est dit, comment exister sans une famille ?
mercredi 23 octobre 2013
Les retrouvailles
Je l'avais imaginé des centaines de fois cette journée là je m'étais posée également les milliers de questions qui allaient avec.
Fallait-il attendre les 5 ans préconisés pour le retour au pays (il faut passer autant de temps dans son nouveau pays que dans son ancien avant d'y retourner).
Fallait-il la rencontrer sa famille d'accueil pour laquelle il a gardé tant d'amour ?
Fallait-il la rencontrer dans un lieu neutre ou chez eux ?
J'ai entendu de tout, tu es inconsciente, tu ne sais pas toi, tu n'as pas été adoptée, tu ne peux pas comprendre ce qu'il va ressentir en sentant et entendant son pays.
Moi ce que je savais, c'est que mon instinct me disait, vas-y cocotte, tu le connais ton fils, tu vois bien qu'il est archi prêt. Mais bon, pour faire taire toutes ces petites voix dans ma tête je suis allée consulter seule l'assistance sociale qui me connaît bien et qui nous a suivi depuis le début et la psychologue (nouvelle et avec qui je n'ai pas accroché du tout). Finalement il en ressortait qu'elles me faisaient confiance et qu'elle n'éprouvaient pas le besoin de rencontrer mon p'tit truc.
Nous avons pris la décision de rencontrer sa famille d'accueil en passant par le circuit officiel et officieux. Rendez-vous était donné le lundi 29 Août à 14h, j'ai envoyé la confirmation par mail à sa famille d'accueil avec qui je correspond depuis pas mal de temps maintenant.
Le fameux lundi 29 est arrivé. Ils étaient là, à la grande surprise de la Norfil qui ne les avait pas prévenu, c'était fort quand même !
Il est allé les embrasser timidement, nanay en premier, tatay en second. Il y avait Solene et Wency et une grande cousine. Até Mona ne pouvait pas venir prise par son travail et Até Inkay nous a rejoint un peu plus tard. Nanette était également avec nous et pour mon fils il était inconcevable qu'elle ne soit pas là.
Dhéjy a offert ses cadeaux, les fameux produits de beauté, shampoing, gel douche, parfum, en souvenir des premiers jours avec nous, il nous avait dit qu'il leur offrirait du shampoing quand il les reverrait parce qu'elles aimaient sentir bon.
Nous avons offert des spécialités culinaires à tatay (pâté et foie gras) sans oublier les bulles de savon, une barbie et des sucettes aux petites filles.
Ensuite nous avons laissé les habitudes revenir lentement, en toute timidité.
Nous avons discuté avec le personnel de la Norfil sur l'évolution de notre fils et son désir de ne pas oublier son passé.Nous avons donné des infos sur l'école, sa taille son poids, son comportement, nanay voulait tout savoir.
Até Inkay est arrivée avec un cadeau pour lui, il était content. Il est allé s'installer sur ses genoux, elle était très émue de le voir, je sais par Dhéjy qu'il passait beaucoup de temps avec elle et qu'il l'aimait vraiment beaucoup. Il a joué avec Solene et Wency et petit à petit le lien s'est refait c'était drôle d'entendre ses petites filles l'appeler Kuya DJ et de voir qu'il n'y a pas besoin de parler la même langue pour rire ensemble.
Ils se sont amusés à se maquiller, se coiffer ils ont chanté et dansé. Je sais pourquoi mon fils est un petit garçon si heureux, il était aimé dans cette famille, deux heures se sont passées dans la joie et la gaieté.
Le moment de la séparation est arrivé, à nouveau de l'émotion de les quitter. Ils étaient si heureux de le revoir, nous avons fait comme si nous ne les reverrions pas avant quelques années, mais j'avais déjà ma petite idée dans la tête.
De retour dans la voiture, Dhéjy s'est installé sur mes genoux, il m'a dit qu'il était triste parce qu'il faudra attendre encore longtemps pour les voir à nouveau mais qu'il savait aussi que c'était possible. Il s'est écroulé sur moi de fatigue et a dormi tout le voyage du retour.
La suite au prochain épisode...
vendredi 11 octobre 2013
Au pays de Nanette
L'année dernière au détour d'une photo sur facebook, je me suis rendue compte que Nanette, en plus de faire des merveilles auprès des familles adoptives et de son travail chez Virlanie, avait un programme personnel. Elle vient en aide aux enfants et familles de l'école de son village d'enfance, école dans laquelle son père était instituteur.
Une année, un typhon a détruit tout le matériel de l'école, livres, cahier, papiers, etc... tout a été emporté.
Sa soeur, Noémie qui est institutrice dans cette école l'a contacté pour lui demander son aide. Nanette s'est retournée vers Dominique qui lui a dit que pour cette fois ci il l'aiderait mais qu'elle était suffisamment débrouillarde pour trouver des fonds les années à venir et s'occuper de ce programme.
Lorsque Nanette est venue en France l'année dernière, Nathalie et Pascal m'ont interrogé sur une idée de cadeau, certes un sac à main et un parfum (qu'elle adore) lui ont fait plaisir, mais je leur ai soufflé l'idée de lancer une quête afin de lui donner l'argent qui permettrait d'aider son école.
Elle a été très émue et surprise de cette attention pour son programme et a réussi à acheter 320 cartables pour les écoliers.
Cette année, nous avons relancé un appel à tous les adhérents afin de l'aider et nous avons récolté 1600 €.
Cela à permis d'acheter toutes les fournitures scolaires de son école mais aussi d'aider une école voisine.
Lors de notre séjour aux Philippines, j'ai demandé à Nanette si il était possible d'aller à la rencontre de son école et de découvrir sa province. Elle a été très touchée par cette demande et a organisé avec plaisir notre escapade.
Je crois que ces 4 jours avec elle font partie de mes moments préférés. Nous sommes arrivés à LEGAZPI ou une coupure générale d'électricité nous attendait, le gouvernement a fait couper l'électricité parce que la province n'avait pas réglé la note. Nanette, qui me connaît bien maintenant, m'a dit, c'est normal Chrystel est là...
Nous sommes allés déjeuner dans un restaurant philippin en prenant le jeepney, pas de taxi à Legazpi. Les jeunes écoliers étaient en admiration devant Alicya et lui lançaient des I Love You, ils étaient également très surpris de la taille du nez de mon homme, le nez européen n'a rien à voir avec le nez asiatique il est vrai.
Ensuite nous sommes allés sur le site de l'église qui a été ensevelie par une éruption volcanique, fasse au volcan qui était sous les nuages, nous avons pour l'occasion pris un tricycle, grande première pour mon homme qui refusait d'embarquer la dedans mais qui en dehors de Manille n'avait pas le choix.
Retour à notre hôtel le soir, sous une pluie battante en jeepney et tricycle. L'hôtel choisi par Nanette était le Alicia hôtel, une petite attention adorable et notre Alicya à nous a été servi par le personnel du restaurant comme une reine.
Le lendemain, son ami Eric est venu nous chercher pour nous conduire jusqu'à son village natal.
Nous avons été reçu comme des rois par le personnel de son école et par les enfants. Ils avaient préparé un festin philippin et avons déjeuné avec tout le personnel sous les yeux amusés des enfants qui pensaient qu'Alicya était Barbie (je peux vous dire qu'elle a adoré son voyage). C'était absolument délicieux. Ensuite nous avons béni la nouvelle salle informatique, grande première pour mon homme qui fréquente les salles informatiques toute l'année mais qu'aucun prêtre n'est venu bénir.
Ensuite nous avons visité les classes, les enfants aux nombre de 650 étaient très excités de nous voir mais aussi très obéissants. Lorsque j'ai demandé si ils étaient bien sages en classe parce que nous étions là, on m'a regardé avec surprise en me disant, non ils sont sages parce que l'enseignant est là.
Et bien j'aimerais bien que nos élèves de France viennent faire un petit tour pour s’apercevoir que le respect de l'adulte, même quand on est 45 par classe est possible.
Après la bénédiction nous sommes allés prendre place sur la scène de l'école prononcer des petits discours, moi aussi d'ailleurs et assister au spectacle qui avait été préparé pour nous.
L'après midi a été festif, des danses et encore des danses dans une ambiance superbe et des costumes tout aussi superbes.
Un second buffet nous attendait, préparé par des parents pour nous remercier.
Franchement je n'avais plus envie de les quitter, j'étais bien, entourée de sourires, de rire, de bonne humeur, j'étais comme chez moi. J'y serai bien restée plusieurs jours.
Des parents sont venus me remercier, des enfants aussi.
J'ai été très heureuse d'être la représentante PAEPAMA et leur ai promis que nous continuerions de les aider.
Nanette a été très émue, elle sait que son papa veille sur elle et serait très fier d'elle. Il lui avait demandé de créer un programme de soutien pour l'école de son village afin de faire en sorte qu'un maximum d'enfants puissent avoir accès à l'éducation sans que cela soit un fardeau pour leur famille pauvre.
Un programme de nutrition pour les plus dénutris peut également se développer afin de palier aux carences alimentaires.
Nous avons été accueilli comme des rois, mais je ne peux m'empêcher de penser aussi que toute la nourriture qui a été servi a été un sacrifice pour certaines familles.
Dans cette école on s'instruit mais on cultive aussi, il y a une petite rizière, un jardin potager. Il y aurait beaucoup de travaux faire, rénover les classes, les allées qui sont toujours pleines d'eau, surtout en saison des pluies, mais petit à petit, avec la volonté de chacun, cela sera possible.
J'ai très envie de continuer à les soutenir et facebook réduit les distances et permet de rester en contact. Je sais qu'un jour j'y retournerai pour passer plus de temps avec eux.
J'ai eu la chance de rencontrer un beau frère de Nanette, sa belle maman, sa soeur Noémie, sa maman, ses neveux et nièces. De voir des photos d'enfance de Nanette, son papa, sa grand mère, son frère, quelle chance j'ai eu.
L'endroit ou vit sa maman est très beau, on dirait une île au milieu d'une rizière. Elle habite avec ses enfants dans une grande maison au milieu d'un beau jardin bien entretenu avec des orchidées sauvages. Elle nous avait préparé des petites douceurs et était très intimidée de nous voir.
Le soir nous sommes allés dans un hôtel au bord de la plage infestée de méduses, pas de baignade possible. Sa soeur, le président des parents d'élèves et une enseignante Peachie sont venus nous voir et nous avons discuté. Elle nous a dit que pour les enfants notre venue avait été fantastique, eux qui ne voient jamais d'étrangers et qui finalement se disent qu'apprendre l'anglais n'est pas utile. Ça leur a permis de voir que d'autres s’intéressaient à eux. Peachie est venue avec une statuette d'une Carabao pour Dhéjy lui dire que cette vache qui sert au travail des champs est l'emblème de cette province. Dhéjy était très content et la Carabao a rejoint, le jeepney, le tricycle, la calèche et le drapeau Philippin.
Je vous laisse quelques photos de cette journée, riche en émotion et qui marque vraiment mon voyage aux Philippines, cette journée était vraiment ma journée préférée.
Merci à Nanette pour son accueil, elle ne nous a jamais demandé aucune aide pour son programme et ne m'en avait pas parlé, par timidité et dévouement à Virlanie. Je suis contente de l'avoir découvert et les familles PAEPAMA sont tout aussi contentes de s'investir pour VIRLANIE et maintenant SOAR.
La suite du voyage un peu plus tard...
Ils ont un peu cru qu'en France on parlait Italien
Rizière de l'école
festin
Le personnel de l'école, la Noémie, la soeur de Nanette est derrière le seul homme de l'école
Avec sa maman
Eric (son meilleur ami qui l'aide énormément au sein du programme) et Nanette
lundi 16 septembre 2013
Je m'ennuie
Après mon premier voyage j'avais un mauvais sentiment à propos des Philippines, je détestais et étrangement quelques mois plus tard je voulais y retourner.
Avec ce second voyage, j'ai découvert que j'aimais ce pays mais surtout que j'aimais son peuple.
Je ne pourrais pas vivre là bas, c'est certain, le bruit, la pauvreté au quotidien, la pollution, la culture qui n'est pas la mienne. Par contre j'aime ces gens, je me sens proche d'eux, ils sont décomplexés, souriants, abordables, zen, ne s'énervent jamais, respectueux, tout ce que j'aime.
Je suis revenue depuis un mois maintenant et je m'ennuie d'eux, même si mon petit rayon de soleil est à la maison, j'ai la nostalgie de leur bonne humeur permanente, de ma copine Nanette qui est devenue une amie précieuse, des ses copines, des connaissances que je faisais sur la plage, Sharon, Janette, John John, difficile de vivre là-bas et de ne pas se faire d'amis.
Je vous laisse quelques sourires,
Ah oui, je m'ennuie d'eux...
Avec ce second voyage, j'ai découvert que j'aimais ce pays mais surtout que j'aimais son peuple.
Je ne pourrais pas vivre là bas, c'est certain, le bruit, la pauvreté au quotidien, la pollution, la culture qui n'est pas la mienne. Par contre j'aime ces gens, je me sens proche d'eux, ils sont décomplexés, souriants, abordables, zen, ne s'énervent jamais, respectueux, tout ce que j'aime.
Je suis revenue depuis un mois maintenant et je m'ennuie d'eux, même si mon petit rayon de soleil est à la maison, j'ai la nostalgie de leur bonne humeur permanente, de ma copine Nanette qui est devenue une amie précieuse, des ses copines, des connaissances que je faisais sur la plage, Sharon, Janette, John John, difficile de vivre là-bas et de ne pas se faire d'amis.
Je vous laisse quelques sourires,
Janette (Jakson) Alicya (Keys) et Sharon (Stone) les stars de Boracay
John John, mon pote (à qui j'ai appris je t'aime en Français pour sa femme)
Ah oui, je m'ennuie d'eux...